A MDG

Publié le par Hafiz



J’ai envie d’dire, la C tu sais c’est bien et la MDA me met MDR, mais la MDG c’est comme une MST : quand tu la tope elle reste en toi.

Devant elle je m’extasie aussi je suis comme un pro-du verbe, comme un dieu en herbe, je deviens surhomme en puissance, c’est Zarathoustra qui s’incarne en moi se faisant j’suis un peu supersonique, super-tonique tout ça c’est sidéral d’ailleurs j’suis sidéré de constater l’existence de la miss MDG.

Miss MDG au milieu des kéké ta mine applestroopique a pour effet en fait sur la masse sus-citée d’les faire se questionner sur leur propre stupidité.

Tu sais si t’es percée j’te rassure t’es perçante comme une pique défonçant intrinsèquement la banalité en un grand BIG BANG cosmique.

Mais entre cosmique et sidérale nous voilà porté aux étoiles. Parlons alors de celles qui constellent ton dos car j’kiff les parcourir en cosmonaute free lance et voilà qu’je balance entre stark trek pour la découverte et Buzz l’éclair claironnant à tout vas : « vers l’infini et au delà. » 

Pour rester dans la métaphore - encore celle des cieux – je veux te dire qu’en parlant d’ciel (ciel !) tu m’envois à l’un d’entre eux et pas qu’un peu, le mieux celui qui porte fièrement le numéro sept qui dois d’ailleurs être ton préféré Miss MDG.

Car si je comptabilise on a truc comme : 

UN peu que j’ai envie DEUX la comparer à Hélène de TROIS ce qui est en soit un QUATRE-ès atypique mais je réplique qu’elle est un CINQrétisme entre le corps et l’esprit et SIX n’est pas ce que tu penses, avoues tout de même que SEPT nana là…

...

Elle déchire.

Publié dans La salon

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